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Travailleurs PSI passionnés certes, mais aussi des mentors dédiés!

Travailleurs PSI passionnés certes, mais aussi des mentors dédiés!

Dans le cadre du rayonnement de la marque « Expert.  -sur nos chantiers- » visant à mettre en valeur les diverses compétences de nos corps de métier du système intérieur, le service des communications de BMNJ compte mener une large campagne de diffusion portant sur nos divers projets et notre personnel. Voici le deuxième article d'une série sur nos travailleurs et travailleuses de chantier.

Situé dans le sud-ouest de l’île,  dans l’arrondissement LaSalle, le projet La Vida LaSalle regroupe une centaine de maisons de ville dont plusieurs unités sont toujours en construction. C’est là que nous avons rencontré le contremaître et poseur de gypse, Dominic Foisy, le tireur de joints, Daniel Champagne et le chargé de projets, Michel Dubois.

À eux trois, ces travailleurs cumulent plus d’une centaine d’années d’expérience dans l’industrie de la construction et du système intérieur et tous parlent avec ardeur de leur métier.

Dominic Foisy

Passionné de golf, de camping et fan de musique – il est même DJ à ses heures – Dominic Foisy a commencé à travailler en construction dans son patelin de Lanaudière il y a 25 ans – dont les 16 dernières années chez BMNJ. Il avoue préférer les chantiers résidentiels aux chantiers commerciaux: “J’aime bien l’ambiance de travail dans le résidentiel. Les équipes de travail sont plus petites, c’est plus familial même si le “beat” de travail et la cadence sont beaucoup plus rapides que dans le commercial. C’est ça que je préfère sans oublier que les patrons sur les chantiers sont expérimentés et proviennent des mêmes métiers que les nôtres.”  Travailler dans le résidentiel lui procure l’opportunité de travailler sous la supervision du chargé de projets, responsable des projets résidentiels, Michel Dubois.

Michel Dubois 

L’ADN de Michel est incarnée dans son éternel sourire et sa bonne humeur légendaire.  Michel compte 43 années d’expérience en système intérieur, dont 12 ans chez BMNJ. Il a commencé à travailler en PSI dès le début de l’adolescence. Son fils a suivi ses traces puisqu’il a rejoint la confrérie des travailleurs de système intérieur après avoir terminé des études avec mention dans le domaine de l’informatique. 

‘’Quand on était jeune chez nous, on avait deux choix : l’école ou la construction. Je n’aimais pas assez l’école et j’ai donc débuté très tôt dans la construction. ‘’
– 
Michel Dubois, chargé de projets.

Daniel Champagne

Tireur de joints de père en fils, Daniel Champagne a lui aussi suivi les traces de son paternel il y a 37 ans de cela. Chasseur et pêcheur dans ses temps libres, Daniel est un expert attitré au contrôle de qualité des chantiers résidentiels. Il ne tarit pas d’éloges quand il s’agit de parler de son métier qui n’a pas changé beaucoup avec les années :
Les machines ne nous font pas nécessairement gagner du temps. Le faire manuellement, c’est valorisant quand tu sais que c’est ta main qui a fait les joints. Il faut évidemment que tu aimes ton métier et j’ai toujours ressenti une fierté de faire partie de l’industrie de la construction, et depuis 5 ans, de BMNJ, qui est une compagnie sérieuse qui forme beaucoup d’apprentis qui restent avec nous par la suite parce qu’ils sont bien traités.”

La question de la formation de la relève a d’ailleurs occupé le haut du pavé dans les discussions que nous avons eues ce jour-là, chacun d’entre eux ayant eu le privilège de former de jeunes recrues. ‘’Il faut leur laisser le temps d’apprendre’’ selon Daniel Champagne. ‘’ Tout va vite aujourd’hui, mais il faut prendre le temps nécessaire pour bien les encadrer et corriger le tir quand il le faut’’. Dominic Foisy ajoute que ‘’le bagage familial des jeunes est important et que leur attitude est primordiale. Il faut que les nouveaux qui arrivent sur un chantier aient du cœur au ventre, qu’ils soient ouverts à continuer à apprendre avec détermination.’’  

Michel Dubois a par ailleurs milité longtemps auprès de la CCQ en faveur d’une formation qui intégrerait des stages en entreprise beaucoup plus longs qu’actuellement. “Peu importe où le gars ou la fille a appris sa formation, la réalité de chantier n’est pas la même que sur les bancs d’école et c’est toujours un réapprentissage sur le terrain.”

On l’aura deviné, on a affaire ici à trois travailleurs passionnés, des experts dans leur domaine, qui ont à cœur de bien faire leur travail, mais aussi de partager avec les plus jeunes leur amour du métier afin de former une relève efficace et engagée.

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